La formation, ce puits sans fond ?

Après un premier article sur l’intérêt de l‘auto-positionnement dans le cadre de la transformation de votre entreprise grâce à la mise en place de baromètres, la saga de l’été Learning Boost continue ! 

Mesurer l’impact de la formation ? Beaucoup d’entre vous me regarderont d’un air poli mais sceptique, les autres riront sûrement à gorge déployée. 

Cette quête qui semble si inaccessible aux directions de la formation – justifier de l’impact d’un budget de formation en mesurant la progression des collaborateurs – aurait-elle un début de réponse ? 

C’est en tout cas ce que nous voulons faire chez Learning Boost. Et nous avons une carte imparable dans la manche pour ça : analyser les comportements observables des collaborateurs. C’est-à-dire comprendre ce qu’ils font au quotidien, en lien avec les compétences clés de leur métier ou de l’entreprise. 

Les réponses aux questionnaires permettent à nos clients, dont Orange, de comprendre quelle est la maturité et le niveau de pratique de leurs collaborateurs avant la formation et de voir leur progression en leur soumettant le questionnaire à nouveau quelques mois après la formation. 

Pour résumer, on leur apporte de la DATA ! 

Nous vous parlons d’Orange, qui nous a fait confiance pour accompagner la création d’une nouvelle filière métier grâce à l’auto-positionnement.

L’auto-diagnostic dans la formation, pour quoi faire ?

Vous l’aurez sans doute compris, l’usage de l’auto-positionnement est multiple. S’il permet d’évaluer à un instant T la maturité des répondants sur un sujet stratégique clé, on peut également l’utiliser afin de mesurer l’impact des actions de formation. Dans ce cas, le processus se déroule en deux phases. 

D’abord, en amont de la formation, les collaborateurs répondent à un premier questionnaire pour que les équipes L&D et/ou RH puissent : 

  • Analyser la maturité des apprenants par rapport à un référentiel de compétences                   
  • Identifier des écarts de compétences                                                                                                             
  • Faire prendre conscience aux participants de la transformation de leur métier et de l’importance de l’auto-formation pour évoluer vers leurs nouvelles responsabilités
  • Les rendre acteurs de leur montée en compétences 
  • Personnaliser l’offre de formation en fonction de leurs besoins individuels

Puis le même questionnaire est envoyé une deuxième fois aux mêmes collaborateurs, en aval de la formation pour :    

  • Mesurer la progression des apprenants et donc l’efficacité de la formation
  • Evaluer la mise en pratique des comportements observables et des connaissances acquises en situation de travail
  • Adapter le programme de formation en fonction des résultats observés

L’auto-positionnement est donc une aide précieuse au développement de la stratégie de formation. Il permet de concevoir des parcours réellement adaptés aux besoins de l’entreprise et de ses collaborateurs. 

Vous doutez encore de votre capacité à convaincre de l’impact des actions de formation au sein de votre organisation ? Nous vous faisons part du témoignage de notre client Orange, qui a fait appel à Learning Boost pour former plus de 1000 collaborateurs à une nouvelle filière métier. 

L’auto-diagnostic : point de départ pour former à un nouveau métier 

Le géant français de la télécommunication Orange met un point d’honneur à prendre soin de la relation avec ses clients. C’est dans cette optique qu’il crée la filière “Devenir spécialiste”, visant à améliorer l’expérience client. Qui dit nouveau métier, dit formation. Comme l’explique Laurence Ouzilleau, Responsable du Pôle innovations pédagogiques chez Orange, “la création de cette nouvelle filière de spécialistes s’accompagne d’un plan de formation ambitieux”. Avant de lancer les futurs spécialistes dans cette nouvelle aventure, le Groupe a déployé Learning Boost dans le souci de “déclencher une véritable prise de conscience chez [les] apprenants, leur faire toucher du doigt concrètement le fait que leur métier change et qu’il sera nécessaire de développer de nouvelles compétences”, précise Laurence Ouzilleau.

En effet, en prenant du recul sur leurs compétences, ils apprennent à développer leur posture réflexive et à faire le bilan sur leur niveau de maturité concernant des compétences clés pour leur évolution professionnelle.

Avec un taux de complétion de plus de 90%, Orange a pu collecter de précieuses informations grâce à Learning Boost. Si “le questionnement puis la restitution du profil individuel servent à déclencher des prises de conscience”, le tableau de bord permet de son côté de “suivre en temps réel le déploiement, de filtrer par régions, par sites, ou sessions de formation” (Laurence Ouzilleau). 

Actuellement, nous menons la deuxième phase de Learning Boost avec Orange. En effet, les apprenants ont terminé la formation et passent désormais le deuxième questionnaire. La suite au prochain épisode…

Pour retrouver le témoignage complet d’Orange, rendez-vous ici.